La reprise d’un véhicule est toujours un moment charnière. Surtout lorsqu’on exerce une profession libérale et qu’il est à la fois important d’optimiser cette opération sur le plan financier et totalement inenvisageable d’être privé de véhicule de ne serait-ce qu’un jour. Rassurez-vous, non seulement vous pourrez continuer à travailler sans interruption mais également bénéficier de dispositifs incitatifs particulièrement avantageux. Suivez le guide.
Cela peut paraître évident mais la reprise d’un véhicule doit être prise en main par un professionnel. Rompu à ce genre de dossiers, il vous accompagnera tout au long de la procédure pour vous simplifier la tâche et vous permettre d’optimiser cette opération. La question qui se pose désormais c’est : quel professionnel choisir ?
Tout d’abord, le professionnel qui “reprend” l’ancien véhicule doit être le même que celui qui vend le nouveau. Il s’agit d’une seule et même opération. Et puisque la vente est conditionnée à l’achat, c’est le choix du nouveau véhicule qui est prioritaire. La démarche consiste donc à se renseigner d’abord sur les véhicules que le professionnel propose à l’achat avant de penser aux conditions de reprise.
Dans cette optique, il paraît plus pertinent de s’orienter vers un concessionnaire qui dispose, par nature, d’un très large choix de véhicules d’occasion mais surtout (!!!) de voitures neuves. Et par les temps qui courent, l’achat d’un véhicule neuf est franchement recommandé.
Ne passons pas par quatre chemins, il n’y a probablement jamais eu une aussi belle opportunité d’investir dans un véhicule neuf que ce premier semestre 2021. Surtout dans le cadre d’une reprise.
Pour soutenir le secteur automobile lourdement impacté par la crise sanitaire et inciter au renouvellement du parc auto français afin de le rendre plus “éco-compatible”, l’Etat a mis en place deux dispositifs cumulables : le bonus écologique et la prime à la conversion.
Ainsi, l’achat d’un véhicule électrique neuf ou d’un véhicule hybride rechargeable (dont le taux d’émission de CO2 est compris entre 20 et 50 g/km et l’autonomie électrique est supérieure à 50 km) permet de bénéficier d’une prime à la conversion de 2500 €.
A cela s‘ajoute donc un bonus écologique pouvant atteindre 6000€ (en fonction du taux d'émission de CO2) soit une subvention totale maximale de 8500€ ! Le tout, associé à des dispositifs d’exonération fiscale très avantageux.
Optimiser sa reprise est une excellente chose, mais jamais sans hypothéquer l’avenir. L’objectif n’est pas uniquement de faire un “coup” financier mais bien de repartir sur une solution pérenne et viable. Les professions libérales ont des besoins bien spécifiques en matière de véhicule qu’il convient de prendre en compte.
L’achat d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable, s’il permet de bénéficier de subventions et d’exonérations, doit être adapté à l’utilisation future du véhicule. Parmi les critères à prendre en compte, il y a le nombre de kilomètres parcourus quotidiennement, le type de trajets effectués et les solutions de recharges disponibles.
Le niveau d’équipement du futur véhicule est également essentiel afin d’optimiser le confort et la sécurité, deux éléments avec lesquels il ne faut jamais transiger et qui font donc l’objet d’un article dédié sur notre blog : Quels équipements et options choisir pour son véhicule en profession libérale ?
Enfin, toujours dans l’optique d’anticiper l’avenir, il est important de prendre en compte le futur entretien du véhicule. Révision, réparation, assistance et véhicule de remplacement peuvent être gérés dès la reprise de l’ancien véhicule et l’acquisition du nouveau via notamment un contrat de service avec le concessionnaire qui gère l’opération. Ce contrat permettra d’avoir un véhicule mieux entretenu, plus de visibilité financière et moins de démarches à effectuer.
Vous êtes un professionnel libéral envisageant un changement de véhicule ? Découvrez des conseils sur mesure pour faire le meilleur choix en téléchargeant notre guide exclusif.